débarquer [debaʀke] v.
I V. tr. dir. 1 Faire sortir (qqn, qqch.) d'une embarcation (anton. : embarquer).
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décharger. Débarquer des passagers, des marchandises. Ils « l'empêchent de débarquer sa cargaison de morue au port » (La Presse, 1993).
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par ext. Faire sortir (une chose) d’un moyen de transport quelconque. Débarquer des meubles d’un camion.
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(personnes) fam. Faire sortir qqn d’un moyen de transport quelconque. Débarquer un touriste à l’hôtel. Débarquer un blessé d’une ambulance. 2 fig. et fam. Forcer qqn à quitter son poste, son emploi, le congédier.
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destituer, expulser. Se faire débarquer. « on répétait qu'il y avait eu un complot dans le sous-sol d'un médecin pour débarquer Jean Lesage et que j'y avais pris part! » (G.-É. Lapalme, 1970).
II V. intr. et v. tr. indir.
1 V. tr. indir. débarquer de. Sortir d'une barque, d'un navire; par ext. descendre d'un train, d'un avion (anton. : embarquer). Débarquer d’un avion, d’un train.
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(emploi intr.) « Pour ceux qui font l'aller-retour sans débarquer, une voix crache dans les haut-parleurs que le bateau repartira dans trente minutes » (Ch. Frenette, 1997).
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Q/C fam. Descendre, sortir d'un véhicule routier. « nous débarquons de la voiture garée aux abords du chantier de construction » (Le Devoir, 1998). REM. Cet emploi est parfois critiqué comme synonyme non standard de descendre, sortir.
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débarquer à, dans, en, sur, etc. (+ lieu) ou débarquer (+ adv.). Débarquer à Sept-Îles, à Québec, à Montréal. Débarquer dans un port, dans une gare. Débarquer en ville, à la campagne. Débarquer en sol étranger, sur la Lune. Être fraîchement débarqué quelque part. « Quinze ans plus tôt, des milliers d'immigrants avaient débarqué sur cette île » (M. Ouellette-Michalska, 1993).
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spécialt; milit. « Le 6 juin 1944, à l'aube, 160 000 soldats des troupes alliées débarquaient sur les plages de Normandie » (La Presse, 1994). 2 V. intr. fam. Arriver à l'improviste. Il a débarqué sans s’annoncer. Ils ont débarqué hier soir.
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V. tr. indir. débarquer chez. « Sans prévenir, nous sommes passés prendre maman et nous avons débarqué chez Anne et Philippe » (L. Dupré, 1996). 3 V. intr. fig. et fam. Être dans l'état de qqn qui vient de débarquer; ignorer des faits récents, connus de tous. Elle ne sait rien, elle débarque.
1 V. tr. indir. débarquer de. Sortir d'une barque, d'un navire; par ext. descendre d'un train, d'un avion (anton. : embarquer). Débarquer d’un avion, d’un train.
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(emploi intr.) « Pour ceux qui font l'aller-retour sans débarquer, une voix crache dans les haut-parleurs que le bateau repartira dans trente minutes » (Ch. Frenette, 1997).
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Q/C fam. Descendre, sortir d'un véhicule routier. « nous débarquons de la voiture garée aux abords du chantier de construction » (Le Devoir, 1998). REM. Cet emploi est parfois critiqué comme synonyme non standard de descendre, sortir.
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débarquer à, dans, en, sur, etc. (+ lieu) ou débarquer (+ adv.). Débarquer à Sept-Îles, à Québec, à Montréal. Débarquer dans un port, dans une gare. Débarquer en ville, à la campagne. Débarquer en sol étranger, sur la Lune. Être fraîchement débarqué quelque part. « Quinze ans plus tôt, des milliers d'immigrants avaient débarqué sur cette île » (M. Ouellette-Michalska, 1993).
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spécialt; milit. « Le 6 juin 1944, à l'aube, 160 000 soldats des troupes alliées débarquaient sur les plages de Normandie » (La Presse, 1994). 2 V. intr. fam. Arriver à l'improviste. Il a débarqué sans s’annoncer. Ils ont débarqué hier soir.
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V. tr. indir. débarquer chez. « Sans prévenir, nous sommes passés prendre maman et nous avons débarqué chez Anne et Philippe » (L. Dupré, 1996). 3 V. intr. fig. et fam. Être dans l'état de qqn qui vient de débarquer; ignorer des faits récents, connus de tous. Elle ne sait rien, elle débarque. 
CONJUGAISON
MEQ - AC
- ⚠ Q/Cfam. débarquer
- anton. embarquer