rager [ʀaʒe] v.
1 V. intr. Éprouver de la rage et le manifester par un comportement violent ou par un silence hargneux.
⇒
enrager, pester. Rager en silence. Faire rager qqn. « Ils ne pouvaient accepter que cette loi fût juste. Elle pleurait. Il rageait » (R. Carrier, 1968).
‒
V. tr. indir.
rager de (+ inf.). Rager de ne pouvoir agir. Elle « rageait de le voir là, et intérieurement, lui souhaitait tous les malheurs possibles » (A. Laberge, 1918).
‒
V. tr. indir. rager contre. Rager contre qqn. Il « rageait contre la vie qui s'acharnait à être cruelle pour Evelyne » (Fl. Nicole, 1994). 2 V. intr. par anal. Faire rage, être d'une grande violence, en parlant d'un phénomène naturel.
⇒
se déchaîner. Tempête qui rage. « un vent s'éleva qui secoua la Hutte toute la nuit et ragea encore le matin venu » (Y. Thériault, 1958).
rager de (+ inf.). Rager de ne pouvoir agir. Elle « rageait de le voir là, et intérieurement, lui souhaitait tous les malheurs possibles » (A. Laberge, 1918).
‒
V. tr. indir. rager contre. Rager contre qqn. Il « rageait contre la vie qui s'acharnait à être cruelle pour Evelyne » (Fl. Nicole, 1994). 2 V. intr. par anal. Faire rage, être d'une grande violence, en parlant d'un phénomène naturel.
⇒
se déchaîner. Tempête qui rage. « un vent s'éleva qui secoua la Hutte toute la nuit et ragea encore le matin venu » (Y. Thériault, 1958). 
CONJUGAISON
MEQ - AC