1. port [pɔʀ] n. m.
1 Lieu naturel ou artificiel aménagé pour recevoir et abriter les bateaux et leur permettre
de charger et de décharger ce qu'ils transportent.
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marina.
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portuaire. Port maritime, fluvial. Port de pêche. Port de plaisance. Port pétrolier, de commerce, militaire. Port de Montréal, de Québec. Ports de France, d'Allemagne. Embarcadère, quais d’un port. Faire escale dans un port. « le grand catamaran rentrait au port où dans la nuit scintillait la ville insulaire » (M.-Cl. Blais, 2001).
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Port d’attache d’un bateau, où il est immatriculé.
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fig. Port d'attache : endroit où l’on retourne régulièrement, pour lequel on éprouve un attachement. « Les gares, les chemins de fer, les rails, de longtemps encore allaient m'être un port
d'attache, une sorte de patrie, le seul réconfort, si étrange que cela puisse paraître
aujourd'hui, de ma vie alors si errante » (G. Roy, 1984).
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(expression) À bon port : en atteignant son lieu de destination sans encombre; fig. en atteignant son objectif sans incident. Conduire qqn à bon port. Arriver, se rendre à bon port. « une entreprise ambitieuse, que le ministre souhaite mener à bon port d'ici l'été » (La Presse, 1991). 2 par anal., soutenu Lieu où l'on est à l'abri des dangers, d'une situation difficile.
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havre, refuge. Chercher un port après de dures épreuves. 3 Ville qui possède un port. Habiter un port. 4 inform. Interface avec un canal de communication, qui gère et synchronise les échanges de
données entre l'unité centrale de l'ordinateur et un périphérique externe. Port USB. 5 Col de montagne, dans les Pyrénées.
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col.
ORTHOGRAPHE
| nom masculin | |||||
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port
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