miracle [miʀɑkl] n. m.
1 Fait positif extraordinaire, en dehors du cours naturel des choses, que le croyant
attribue à une intervention divine providentielle.
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prodige. Opérer un miracle. « Il s'était imaginé que l'évêque pourrait faire un miracle et le guérir » (A. Laberge, 1918).
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Tenir du miracle : être surprenant, prodigieux. Cela tient du miracle.
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Crier (au) miracle : s'extasier.
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Croire aux miracles : être trop crédule.
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hist. La Cour des Miracles. 2 Fait extraordinaire qui porte à l'étonnement et à l'admiration. Le miracle de la vie. C'est un miracle qu’elle soit encore vivante! « François attendait, immobile et malheureux à sa façon, qu'un miracle se produise et
qu'elle lui saute dans les bras » (Fr. Noël, 1983).
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Faire, accomplir des miracles : obtenir des effets surprenants, remarquables. « Il y a même un médecin qui a essayé de m'encourager en me disant qu'avec des électrochocs
et certains médicaments puissants, ils faisaient des miracles maintenant » (M. Laberge, 1992).
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Adv. complexe
par miracle. D'une façon inopinée et heureuse. Il est réapparu comme par miracle. « Aussitôt les trois hommes se mirent à parler à la fois comme s'ils eussent par miracle
recouvré l'usage de la parole » (G. Guèvremont, 1945).
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en appos. Très efficace. Remède miracle. Solutions miracles. 3 littér. Au Moyen Âge, composition dramatique populaire mettant en scène les miracles d'un
saint.
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composition.
par miracle. D'une façon inopinée et heureuse. Il est réapparu comme par miracle. « Aussitôt les trois hommes se mirent à parler à la fois comme s'ils eussent par miracle
recouvré l'usage de la parole » (G. Guèvremont, 1945).
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en appos. Très efficace. Remède miracle. Solutions miracles. 3 littér. Au Moyen Âge, composition dramatique populaire mettant en scène les miracles d'un
saint.
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composition. 
ORTHOGRAPHE
| nom masculin | |||||
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miracle
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