cogner [kɔɲe] v.
I V. tr. dir. 1 vx Frapper sur qqch. pour l'enfoncer. L'ouvrier cogne des clous dans la toiture.
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mod. Q/C (expression) Cogner des clous. 2 Heurter qqch., foncer dans qqch. J'ai cogné mon front contre la portière.
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Au baseball et au softball, frapper la balle. Cogner un circuit. 3 fam. Frapper qqn.
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battre, rosser, taper. Il lui a cogné la gueule.
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absolt « quand il pique une colère, il brise tout, il cogne, il devient dangereux » (J. Renaud, 1964).
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pronom. Ils se sont cognés avec hargne.
III V. intr. et v. tr. indir.
1 V. intr. Frapper fort sur qqch. de manière répétitive. Mon cœur cognait dans ma poitrine. « Je vous entends cogner / Comme mer en falaise / Je vous entends passer / Comme glace en débâcle » (Gilles Vigneault, 1965).
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fam. Cogner dur, très fort. « Ses poings, deux masses de fer, cognaient dur, fouillaient les flancs de l'autre » (G. Guèvremont, 1945).
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V. tr. indir. Cogner à, sur la porte, avertir de sa présence.
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frapper.
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(sans complément) Cognez avant d'entrer! 2 V. intr. Faire entendre un cognement. Moteur qui cogne. 3 V. intr. fam. Chauffer (en parlant du soleil).
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taper. Il est midi et le soleil cogne.
1 V. intr. Frapper fort sur qqch. de manière répétitive. Mon cœur cognait dans ma poitrine. « Je vous entends cogner / Comme mer en falaise / Je vous entends passer / Comme glace en débâcle » (Gilles Vigneault, 1965).
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fam. Cogner dur, très fort. « Ses poings, deux masses de fer, cognaient dur, fouillaient les flancs de l'autre » (G. Guèvremont, 1945).
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V. tr. indir. Cogner à, sur la porte, avertir de sa présence.
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frapper.
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(sans complément) Cognez avant d'entrer! 2 V. intr. Faire entendre un cognement. Moteur qui cogne. 3 V. intr. fam. Chauffer (en parlant du soleil).
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taper. Il est midi et le soleil cogne. CONJUGAISON
MEQ - AC