Nymphe du papillon, correspondant au stade intermédiaire de transformation entre la
chenille et l’adulte, pendant lequel l’insecte, souvent protégé par un cocon (notamment
chez les papillons de nuit), reste immobile et ne se nourrit pas; infobulleliste_rhetorique_par_métonpar_méton.par méton.par métonymie250Précisions rhétoriquesprecisionRhetoriqueIndicateur utilisé pour exprimer une réalité par un mot qui désigne un concept différent,
mais lié à cette réalité par une relation de cause à effet, de contenant à contenu,
de partie au tout, etc. (ex. : boire un verre pour boire le contenu du verre)par méton. enveloppe externe, cocon protégeant cette nymphe. « Je dors à peine, passant des heures, la nuit, à respirer les bouquets de fleurs posés
à mon chevet. La chambre est remplie de pollen. Dehors, les chrysalides se déchirent
et les papillons naissent » noticeMadeleine_Ouellette-Michalska.bio.xmlMadeleine_Ouellette-Michalska_bio_xmlMadeleine Ouellette-MichalskaLa maison Trestler ou le 8e jour
d'AmériqueSaint-Laurent, Bibliothèque québécoise, 1995, 316 p. (Collection Littérature). [1re éd., 1984] javascript:return naviguerVers('')(M. Ouellette-Michalska, 1984). infobullenum_macro_sensnum_sous_sensI, II, III…structuration de l’article250IMacrosensAMésosens1Sens◈Sous-sens‒Nuance
◈
(expression) Sortir de sa chrysalide : se sortir de soi, s’ouvrir au monde, s’émanciper. « C'est à Montréal [...] que je suis sorti de ma chrysalide : là-bas je suis devenu l'homme que je suis. J'ai
trouvé dans cette métropole tout ce qui fait l'ordinaire d'une vie enviable » noticeJournalLe_Devoir_bio_xmlLe_Devoir.bio.xmlLe Devoir Quotidien québécois publié à Montréal. (Le Devoir, 2009).