col [kɔl] n. m.
I vx Cou.
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cou. « il allait gémissant sur la fatalité, le col
toujours courbé comme sous une hache » (A. de Musset, 1832).
II mod.
A (par anal. de forme) 1 Partie étroite d'un récipient.
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goulot. Le col d'une bouteille, d’un vase, d’un
flacon. 2 anat. Partie rétrécie d'un organe. Col de l'utérus.
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Partie la plus étroite de certains
os. Col du fémur. 3 géogr. Dépression d'une crête montagneuse formant un
passage entre deux sommets. Franchir un col.
B Partie du vêtement qui entoure le
cou. Relever son col. Col de chemise. Col roulé, rond, en V. « Un col dur, à pointes tournées, bien que ce
ne fût plus la mode, maintenait son cou bien
droit » (G. Roy, 1984).
‒
col châle, arrondi à l'arrière, qui se prolonge en
pointes croisées sur le devant.
‒
col cheminée : col montant d'un tricot, couvrant le bas
du cou.
‒
col chemisier, à pointes, qui monte derrière le
cou.
‒
col Claudine, rond et plat.
‒
col marin ou col Mao, carré à l'arrière, qui se prolonge en
pointes sur le devant.
‒
col officier, étroit et non rabattu, qui borde une
encolure ronde.
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faux col : col amovible d'une chemise.
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fig. Mousse d'un verre de bière.
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collet.
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par méton.
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col(-)blanc (de l’anglais white-collar worker)(par oppos. à col bleu) : employé de bureau; spécialt Q/C employé de bureau d’une administration
publique.
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col(-)bleu (de l’anglais blue-collar worker)(par oppos. à col blanc) : ouvrier; spécialt Q/C ouvrier travaillant dans une
administration publique. Les cols bleus de la Ville de
Montréal. « Le carnet de famille se termine avec Yvan, le col bleu qui conduisait les camions
de la Ville de Montréal, arrosant les fleurs publiques en été et soufflant la neige
en hiver » (S. Bouchard, 2016).
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F/E fam. col(-)bleu : marin de la Marine nationale.
ORTHOGRAPHE
| nom masculin | |||||
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col
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