Et puis une nuit, tu t'es mise à l'appeler. Une crise épouvantable, affreuse. Tu appelais ton père, tu hurlais, tu n'arrêtais pas
Quand Martin me prend dans ses bras, c'est épouvantable ce que je vais dire, je souhaite de toutes mes forces qu'il oublie que j'existe
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urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.