C'est un coureur de jupons, un fainéant, un viveur!
ces coureurs des bois : / Chasseurs, trappeurs, scieurs de long, flotteurs de cages, / Marchands aventuriers ou travailleurs à gages
Je fais l'inventaire de mon âme : il y a accroché dedans[...]des rêves grands comme l'océan, des envies de partir, de sacrer le camp. Ça doit être notre côté coureur des bois, ce besoin continuel de partir, et notre côté vieille France celui de revenir et de décaper des meubles de pin jaune
Il faudra attendre le milieu du XIXes. pour que cette appellation prenne des connotations nettement mélioratives, à travers la vision mythique que donneront du coureur de bois les historiens et les romanciers
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urlCe mot fait partie de la liste orthographique (#listeNomComplet#) du ministère de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur (MEQ) du Québec, élaborée en collaboration avec le Centre d’analyse et de traitement informatique du français québécois (CATIFQ) de l’Université de Sherbrooke.