1. pompe [pɔ̃p] n. f.
1 littér. Déploiement de faste, de décorum.
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apparat, faste, magnificence. « La bénédiction de ces cloches s’est faite [...] avec une pompe extraordinaire, au milieu d’un grand concours de personnes de tout
âge et de toutes croyances » (H. Berthelot, 1924). Mon oncle « m’ouvre la porte du devant de la maison. Il m’accueille avec pompe, par la grande
porte, celle que nous n’ouvrons jamais, lui préférant l’accès par le garage » (C. Mavrikakis, 2008).
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En grande pompe : solennellement. « un mariage en grande pompe, à la
cathédrale Marie-Reine-du-Monde, boulevard
Dorchester » (J. Benoit, 1981). 2 entreprise de pompes funèbres ou ellipt pompes funèbres : établissement spécialisé dans les
arrangements funéraires, qui prend en charge le
déroulement des funérailles.
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funérarium. « Demain matin mon père va être exposé dans un salon funéraire pendant trois jours.
L’agent des pompes funèbres m’a dit que je pouvais attendre jusqu’à la troisième journée
avant de leur indiquer le lieu de l’enterrement » (W. Mouawad, 1999). 3 relig. (surtout au plur.) Vanités du monde. Renoncer à Satan, à ses pompes et à ses
œuvres. « tant de nobles et brillants seigneurs qui ont fui les pompes et les séductions du
monde, pour venir à la Chartreuse opérer leur salut » (L. Conan, 1879). 4 (dans le domaine de l’expression
artistique) Recherche excessive, emphase,
grandiloquence.
ORTHOGRAPHE
| nom féminin | |||||
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pompe
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