improvisation [ɛ̃pʀɔvizasjɔ̃] n. f.
1 Action, art d’improviser.
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art. Musicien doué pour l'improvisation. 2 Œuvre, discours improvisé.
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discours. Improvisation poétique. « Il se lança dans une brillante improvisation sur ses activités » (Y. Beauchemin, 1981).
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Abrév. fam. impro. 3 Jeu théâtral inventé au Québec, dont plusieurs règles et symboles sont empruntés au
hockey, et qui oppose deux équipes devant improviser des saynètes à partir de thèmes
imposés. Faire de l'improvisation. Ligue nationale d'improvisation (sigle LNI). Ligue d'improvisation montréalaise (sigle LIM). Joueur d'improvisation : improvisateur. « quatre troupes canadiennes, de différentes régions, s'affrontent dans un Championnat
mondial d'improvisation anglophone. Du côté français, le Mondial de l'impro opposera
les Français, les Québécois, les Italiens et les Belges » (La Presse, 1999).
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Abrév. impro. Match, tournoi d'impro. Mondial d'impro. « Dans l'impro, comme au hockey, [...] les joueurs encaissent des coups durs, des placages douloureux et quelques claques
qui fouettent le caractère. Et l'ego » (La Presse, 2007).
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Chacune des saynètes improvisées lors de ce jeu.
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saynète. Improvisation mixte, improvisation comparée. « Les improvisations comptant un nombre de joueurs illimité et moins de contraintes,
par exemple avec un thème mais sans accessoires, sont [...] devenues plus courantes que dans les débuts » (Le Journal de Montréal, 2007).
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Abrév. impro. « La seconde période a exigé, dès le premier coup de sifflet, un niveau de jeu plus
élevé. En ouverture, une mixte de sept minutes, un joueur par équipe lancé dans l'arène
sans thème ni caucus. Totale liberté. Les impros suivantes, toutes d'au moins cinq
minutes, ont testé l'endurance des comédiens » (Le Devoir, 2010).
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par ext. Ligue d'improvisation musicale. Ligue d'improvisation picturale.
ORTHOGRAPHE
| nom féminin | |||||
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improvisation
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